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La dîme, une bénédiction ou une malédiction de nos jours?

Quel est le vrai nom de Jésus?

Beaucoup de gens, y compris certains Juifs dits messianiques (c’est-à-dire ceux d’entre les Juifs qui croient que Jésus est le Messie), appellent Jésus par un nom différent: Yeshua. Yeshua, à en croire ces gens-là, serait le nom juif qu’utilisaient ceux qui connaissaient Jésus pour le désigner. Certains vont jusqu’à dire que Yeshua est le vrai nom de Jésus et que le nom «Jésus» est faux. D’autres, cependant, pensent qu’il est acceptable d’utiliser l’un comme l’autre; sauf que ce compromis est loin de faire consensus. En effet, il y a aussi ceux qui soutiennent la thèse selon laquelle le mot « Jésus » est d’origine païenne et, par conséquent, ne devrait pas être utilisé du tout. Et si cela ne suffisait pas, certains disent que «Jésus» est un nom dérivé de «Zeus», du nom de ce dieu suprême dans la mythologie grecque. Cette controverse n’est pas nouvelle, mais elle s’est amplifiée au cours des dernières années, à la faveur des nouvelles technologies de l’information, avec une foule d’articles qui circulent actuellement sur le net sur le sujet. Quel est donc le vrai nom du Seigneur? Quelle est l’importance pour nous, ses disciples, de l’appeler par son vrai nom? Le meilleur moyen de répondre à ces questions et de tenter de résoudre ces controverses entourant le nom de « Jésus » est de fonder l’analyse sur la Bible. Voici, en peu de mots, ce qu’elle dit à ce propos.

 

 

Pour mieux comprendre ce sujet, il est important d’avoir des connaissances linguistiques relatives à la phonétique, à la lexicographie et à la sémantique. Ces éléments de la langue varient dans le temps et l’espace. Prenons des exemples : votre était vostre (16e siècle), Oignon devient ognon aujourd’hui (on peut toujours oignon), Mouin (créole) s’écrit mwen. Seul le natif de la langue anglaise peut prononcer aisément TH. En créole,  la lettre r ne se prononce pas au milieu et à la fin d’un mot : Robert et Bernard se prononcent et s’écrivent ainsi : Wobè et Bèna. Ce phénomène linguistique s’appelle variation lexicographie et phonétique.

Rentrons maintenant d’emblée dans le vif sujet.  Analysons d’abord le tétragramme qui représente le nom de Dieu : YHWH ou YHVH. Selon l’histoire sociolinguistique du peuple d’Israël, il est interdit de prononcer ou de prendre le nom de Dieu en vain ( Exode 20, 3e commandement).  Pour ne pas attirer la colère du Créateur sur eux, les Hébreux utilisent d’autres noms : Elohimha-Elohim (Yah signifie vrai, car le mot Elohim est aussi utilisé pour les faux dieux),  Adonaï (bon juge); en Arab, on dit Ilāh.  

Seul le souverain sacrificateur pouvait prononcer le nom de Dieu quand il était à l’intérieur du temple. En effet, le peuple avait peur de citer ce nom; cela s’explique partiellement pourquoi l’histoire ne retient pas la vraie prononciation de ce tétragramme YHWH ou YHVH (יהוה). Certains linguistes écrivent et prononcent ce nom de cette manière Jehovah ou Jehova ; d’autres disent que c’est Yahve ou Yahweh, (Iave). Vous pouvez constater comment la phonétique et lexicographie de ce nom  varient.  L’hébreu se lit de droite à gauche comme l’arabe :

 

= Y;

= H

= V

Dans l’ordre alphabétique, voici les différents noms que les Juifs attribuent au Créateur :     

Ehyeh Acher Ehyeh

 El

 Elohim (et Eloha)

Elyon

 Maqom

Shaddaï

 Shalom

Shekhinah

 Yah

 «Yeshoua (ישוע, avec les voyelles יֵשׁוּעַ - yēšūă‘ en hébreu) est une contraction de la forme יְהוֹשֻׁעַ (« Yehoshuah » - Josué)1. La forme courte de ce nom est privilégiée par rapport à la forme longue dans la littérature juive de la période du Second Temple, dont les plus récents livres de la Bible hébraïque sont un exemple. Le nom correspond à la forme grecque Iêsous, de laquelle vient le français Jésus2,3»

«Ἰησοῦς Iēsous»

 

Quelle est l’origine du prénom Jésus?

La quasi-totalité des mots français vient du grec ou du latin.  Le nom français Jésus est dérivé de la prononciation et de la lexicographie grecque «Ἰησοῦς Iēsous». Cette graphie vient du mot hébreu  «Yeshoua (ישוע, avec les voyelles יֵשׁוּעַ - yēšūă‘ en hébreu) est une contraction de la forme יְהוֹשֻׁעַ « Yehoshuah » - Josué)». Il est important de remarquer aussi que ce nom contient le tétragramme YHWH : le Fils est dans le père; le père est dans le Fils (Jean 14      ). Cela prouve également que Jésus est le seul Dieu véritable (1Jean 5 : 17-18). Ceux qui ont le discernement ou le Saint-Esprit peuvent comprendre que ces quatre lettres constituent la matrice ou le radical du Yehowshuwa ou Yehoshua, que les peuples et les linguistes prononcent et écrivent de différentes manières : en grec «Ἰησοῦς Iēsous », en latin « Jesus », Jésus en français, et Jezi  en créole. On se rappelle que la phonétique et la lexicographie d’une langue changent dans le temps et l’espace (selon le développement social, culturel et politique de la population).

Cette vérité est incontestable : que l’on prononce ou écrive un mot de manière différente, ce qui importe, c’est la signification ou le référent de ce mot. En citant le nom, à qui se réfère-t-on? Que représente ce signe ou ce symbole? Retenez ceci, nos frères et nos amis: la sémantique a la priorité sur la phonétique (prononciation) et sur la graphie (écriture). Donc, un nom est un symbole graphique qui a sens ou une histoire. Prenons le mot dessouchage (dechoukaj, créole). Son sens primitif se réfère au domaine agricole (déraciner ou enlever les racines des arbres), mais depuis 1986, en Haïti, il signifie « renverser un gouvernement ».

 

Quelle est la signification du prénom Jésus ou Yehshua?

Selon le prophète Esaï, le Messie s’appellera  Emmanuel (hébreu : עִמָּנוּאֵל - imanou El), qui signifie « Dieu avec nous » (Esaï 7 :14; Chap.8 v8). L’ange cite le même nom à Marie (Mat.1v23- Luc.1v31). Existe-t-il un problème le fait que la mère de Jésus ne l’appelle pas Emmanuel? Il n’y a aucune différence entre  le nom Jésus et celui d’Emmanuel, car les deux ont le même référent, qui est Jésus. De même que les Hébreux attribuent plusieurs noms à Dieu, le Créateur, il en est de même que Jésus a plusieurs appellations : le Fils de l’homme, Père éternel, Dieu véritable, notre Segneur, le Sauveur du monde, Prince de paix, l’Agneau de Dieu, etc. Le nom Josué dans l’Ancien Testament (Exode 17 : 9,   Yehowshuwa')[1] a le même sens que le mot Jésus en français dans le Nouveau Testament : sauveur. Certes, Josué était un sauveur pour les Juifs comme Jésus est le Sauveur du monde.  Il est le seul Sauveur ou l'unique Dieu qui sauve (Esaï 43 : 1-28).

 

Conclusion

Du point de vue sémantique (signification), le prénom français « Jésus » ne diffère pas de celui hébreu « Yehoshua ». En effet, le baptême au nom de Jésus ou au nom de Yehoshua a la même valeur spirituelle : c’est le baptême au nom de Jésus ou au nom de Yehoshua qui pardonne les péchés (Actes 2: 36-42 ; Luc 24: 45-47). Existe-t-il un passage biblique prouvant que le Christ affirme qu’il s’appelle Jésus (Yehoshua en hébreu)? Bien sûr, il répondit à Paul : « C’est moi, Jesus de Nazareth que tu persécutes » (Actes 9). Jésus n’a-t-il pas un autre nom? Évidemment, notre Sauveur a un nom nouveau que personne ne connaîtra (Apo.3 v12), sauf celui qui le recevra ( Apo.2 v16-17).

Somme toute, nous affirmons que le prénom Jésus n’est pas une traduction du grec au français, ni le nom du faux dieu «  Zeus » ou un nom fabriqué, mais il s’agit de la prononciation française du vocable grec « Iesus ». Ce phénomène linguistique s’appelle « variation phonétique » en passant d’une langue à une autre. De plus, les noms propres ne se traduisent pas. Cette règle est soutenue par Geoge Moore[2]. Toutefois, un auteur contemporain conteste ce principe[3]. Écoutez-nous, frères et sœurs : vous êtes bien baptisés, que la personne, qui baptise, prononce le nom de notre Seigneur dans n’importe quelle langue (ou dialecte): en créole (Jezi), en français (Jésus), en anglais (Jesus), en espagnole (Jesus), en latin (Jesus), en grec (Iēsous), en hébreu  ישוע (Yeshoua, Yēšūă ou Yehoshuah[4]), etc.

 

                                               Izenord Joseph & J.P.Tommy Galbaud

 

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Documents consultés et Bibliographie

" En hébreu, le nom de Dieu s’écrit יהוה. Ces quatre lettres, qui se lisent de droite à gauche, sont souvent appelées le Tétragramme. Beaucoup de noms de personnages et de lieux figurant dans la Bible contiennent une forme abrégée du nom divin. Se pourrait-il que ces noms propres offrent quelques indices sur la façon dont se prononçait le nom de Dieu ?

Oui, selon George Buchanan, professeur honoraire au Wesley Theological Seminary de Washington (États-Unis). Il explique ceci : “ Jadis, il était fréquent que les parents donnent à leurs enfants des noms forgés à partir de celui de leurs divinités. Cela signifie qu’ils prononçaient le nom de leurs enfants de la même façon que celui de leur dieu. Le Tétragramme était utilisé dans les noms des gens, et ils employaient toujours la voyelle du milieu. ”

" Voici quelques exemples de noms propres rencontrés dans la Bible qui contiennent une forme courte du nom de Dieu. Yonathân, qui dans l’hébreu est orthographié soit Yônathan soit Yehônathan, signifie “ Yaho ou Yahowah a donné ”, selon le professeur Buchanan. Le nom du prophète Éliya est ʼÉliyah ou ʼÉliyahou en hébreu. Pour le professeur Buchanan, il signifie : “ Mon Dieu est Yahou ou Yahou-wah. ” De même, le nom hébreu auquel correspond Yehoshaphat est Yehô-shaphat, qui signifie “ Yaho a jugé ”.

" Une prononciation bisyllabique du Tétragramme telle que “ Yahvé ” ne permet pas le son vocalique o dans le nom de Dieu. Pourtant, dans les dizaines de noms bibliques qui contiennent le nom divin, cette voyelle centrale apparaît tant dans les formes premières que dans les formes raccourcies, comme dans Yehonathân et Yonathân.
C’est pourquoi le professeur Buchanan dit au sujet du nom divin : “ En aucun cas la voyelle ou ou ô n’est omise. Le mot était parfois abrégé en ‘ Ya ’, mais jamais en ‘ Ya-vé ’. [...] Quand le Tétragramme était prononcé en une seule syllabe, c’était ‘ Yah ’ ou ‘ Yo ’. Quand il était prononcé en trois syllabes, ce devait être ‘ Yahowah ’ ou ‘ Yahouwah ’. Si tant est qu’il ait jamais été abrégé en deux syllabes, ce devait être ‘ Yaho ’. ” Biblical Archaeology Review."

" Ces remarques nous aident à comprendre la déclaration faite au XIXe siècle par l’hébraïsant Wilhelm Gesenius[5] dans son dictionnaire d’hébreu (Hebräisches und chaldäisches Handwörterbuch über das Alte Testament) : “ Ceux qui considèrent que יהוה [Yehowah] était la vraie prononciation [du nom de Dieu] ne sont pas tout à fait sans fondement pour défendre leur opinion. Dans ces conditions, les syllabes abrégées יהו [Yeho] et יו [Yo], par lesquelles commencent beaucoup de noms propres, peuvent s’expliquer de façon bien plus satisfaisante. ”

 

 

 

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Biographie

http://www.significationprenom.com/prenom/prenom-YEHOSHUA.html

http://www.lettre-chretienne.org/ ( patizan ki kwè se Yehoshua pou di)

(http://www.bible-ouverte.ch/faq/faq-theme/qr-dieu-jesus-le-saint-esprit/2081-reponse-55.htm)

Polguère, Alain. Lexicologie et sémantique lexicale, ed. Presse de l’Université de Montréal, Québec, 1959

Wilhelm, Gesenius. Dictionnaire d’hébreu (Hebräisches und chaldäisches Handwörterbuch über das Alte Testament)



[1] Dans le Nouveau Testament, les originaux grecs utilisent Iesous, (plus de 1'100 fois !) qui est une traduction grecque du mot Yehowshuwa‘ (prononcé yeh-ho-shoo’-ah) ou Yehowshu‘a (yeh-ho-shoo’-ah). C'est le même mot que Josué. (http://www.bible-ouverte.ch/faq/faq-theme/qr-dieu-jesus-le-saint-esprit/2081-reponse-55.htm)

 

1-       [2] Tous les noms propres, quelque imprononçables qu’ils soient, doivent être rigidement respectés » (Moore, cité par Connes, 1959:138, In Ballard, 2001:11) . Cette affirmation a fait preuve d’une résistance accrue à travers le temps. Elle est même transmise dans des ouvrages d’apprentissage des langues et des manuels de traduction. On la trouve encore, sous la forme d’un avertissement, dans la présentation du concours externe du CAPES-CAFEP 2009

 

 

2-       [4] Yeshoua (ישוע, avec les voyelles יֵשׁוּעַ - yēšūă‘ en hébreu) est une contraction de la forme יְהוֹשֻׁעַ (« Yehoshuah » - Josué)1. La forme courte de ce nom est privilégiée par rapport à la forme longue dans la littérature juive de la période du Second Temple, dont les plus récents livres de la Bible hébraïque sont un exemple. Le nom correspond à la forme grecque Iêsous, de laquelle vient le français Jésus2,3

 

 

[5] Heinrich Friedrich Wilhelm Gesenius, né à Nordhausen le 3 février 1786 et mort à Halle (Saxe-Anhalt) le 23 octobre 1842, était un philologue etorientaliste allemand. Il a inauguré la méthode comparatiste dans l'analyse du chaldéen, de l'hébreu et de l'araméen en s'écartant des présupposés religieux qui prévalaient jusqu'alors dans l'étude des langues sémitiques. On lui doit, entre autres, une Grammaire hébraïque et une traduction commentée du Livre d'Isaïe. C'est à la suite de ses travaux que le Tétragramme fut transcrit par le mot « Yahweh » dans le monde chrétien. Son lexique hébreu-allemand a servi de base au dictionnaire Brown-Driver-Briggs. En tant qu'exégète, Gesenius a exercé une influence durable sur lathéologie biblique.

Ki vrè non Jezi?

Photoeder
Eder Jéroboham

  
Nou ta renmen poze tout moun kesyon sa : Eske Pawol BONDYE egzije pou n di NON MESI a, sa vle di NON KRIS la nan lang ebre? Gen moun ki di,  vrè  NON KRIS la se YESHUA, nou pa  dwe di JEZI ;  An nou analize pwoblem sa!


Kisa nou konnen sou sinifikasyon NON JESUS a ? Li vle di : BonDye sove, BonDye delivre, e BonDye se Sali m. Le Salut vient de DIEU et DIEU est mon Salut!...
JESUS est une forme latine du grec : Iesous  (Ο Ιησούς ), qui correspond a l'Hebreux  (ישוע) YESHUA
YESHUA sinifi tou : BonDye sove, BonDye delivre e BonDye se Sali mwen! 


NON JESUS a pwononse YESHUA an ebre, men kijan li ekri an ebre: ישוע
Ebyen  si se selman YESHUA pou yon moun di se pou l toujou ekri l an ebre tou e tout lot TIT KRIS genyen yo!
Nan Bib la yo konn pwononse ou ekri NON JEZI nan diferant lang Jean 19v19-22 « Jésus de Nazareth, roi des Juifs » nan pasaj sa a enskripsyon ki te sou kwa a pou endike ke JEZI se WA jwif yo te ekri nan twa (3) lang diferan,(en hébreu, en grec et en latin) konsa chak moun te ka li e pwononse l nan lang ke yo ka li a.


Nan lang ebre a li ekri konsa: ישוע מנצרת, מלך היהודים
Li pwononse konsa:YESHUA hanazarei vemelekh hayehudim.


Nan lang grek la li ekri konsa :Ο Ιησούς από τη Ναζαρέτ, ο βασιλιάς των Εβραίων
Li pwononse konsa : O IESOUS apo ti nazaret,o vasilias ton loudaion.


Nan lang laten an li ekri konsa : Iesus Nazarenus rex Iudaeorum
ki vle di : JEZI de nazaret , WA Jwif yo!

sa fè nou konprann ke depi lè MET la te sou latè moun te konn rele l e ekri NON li nan diferant lang, se pa selman nan lang ebre a yo te kon rele l.
e pa bliye ke NON MET la te enskri sou kwa nan twa (3) lang diferan.

 
Kounye a an nou poze kesyon sa : Ki pasaj nan Bib la ki di se an ebre selman nou dwe site,oubyen  pwononse NON MET?


Si se an ebre selman poun di JEZI paske pwononsiyasyon YESHUA a se ebre eben nou pa ka di BONDYE, MET, SENYE, KRIS, REDANMTE, SOVE, ETENEL , KREYATE nan lot anko se ta an ebre poun ta di tout tit sa yo tou. Konsa  diferans ki genyen lè yon moun di YESHUA ak youn ki di JEZI  se selman diferant lang men tout di menm bagay.
E se an ebre tou poun ta site Non Apot yo konsa mezanmi ann pa chache mete twoub ak konfizyon nan tet moun yo, tout moun dwe sevi BONDYE nan lang ke yo ka pale, ekri e  konprann!


Nan Ak 2 : 7-11 BONDYE DAMOU  nou an fe tout Jwif ki soti nan lot peyi e ki pale lot lang tande Levanjil la avek NON SENYE a nan lang matènel yo, konsa sa montre nou ke BONDYE aksepte ke nou tande , aprann e pratike Pawol la nan lan ke nou pale e MET la aksepte ke nou adrese avel nan nenpot lang paske LI konprann tout lang daye se BONDYE ki fe nou pale diferant lang.Genese 11v 3-7
An nou pran yon ti egzanp: anglè yo di John, espayol di Juan e franse di Jean donk ekri e pwononse diferamman men sinifi menm bagay. Ki moun kip a konprann sa? Selman si moun sa fek vini sou latè.


JEZI tap priye Li di ABBA ki se yon mo arameyen ki vle di Père, oh Mon Père , Cher Papa.

NB: Ce mot ABBA s'agissait plus d'un terme affectueux que d'un titre et il exprimerait un peu de l'intimité! sa vle di si arameyen an di ABBA, anglè a di Father e franse a di Père, e ayisyen an di Papa eske se pa menn bagay la?

 

Si ebre a relel YESHUA, grek la rele Li O IESOUS ayisyen an rele l JEZI, franse a di JESUS eben BONDYE pa gen pwoblem avek sa.

Poukisa se nou menn ki gen pwoblem ak sa? Mwen ka konpran genyen yon lot bagay nap regle. BonDye konnen nou pap kabab twonpe l. Li we panse nou, kè nou , entansyon nou, eksetera….

 

«Si yon moun santi konsyans li kondane l pou sa li fè, li santi li lwen SENYE a e li vle chanje se pa yon fo pwoblem konsa pou l mete devan pou l ka rebatize poul konpran BonDye ap pran nan fent de Kò sa. Atansyon nou pa ka pase BonDye nan betiz. Se priye pou nou priye, jene e  rekonet fo nou yo tankou David te fe l Pou BonDye padone peche nou.

Sa ta vle di tout moun sou latè ki ap pale de Sovè a depi yo pa di l nan lang ebre a yo pase sou kote. Yo pa bezwen mete nan tet yo yap sove, si yo ta batize nan non JEZI li pa bon. Mezanmi se fo pwoblem sa ye, moun sa yo nan manti tou senpleman yo genyen yon lot bagay yap regle, pa suiv yo nan egareman yo.

BonDye konnen a kimoun poul revele pawol li. Nou pa bezwen pale sou sa!!!» (Commentaires de Frère Aly)

 

Si lè yon moun tap batize se nan NON JEZI li te batize eben li te byen batize paske se konsa NON SOVE a pwononse an kreyol, e lè nou di JEZI nou konn a kiyes nap adrese nou se ak MESI a, SOVE a ,REDANMTE a , SENYE a, KRIS, ETENEL, KREYATE a ki te vini an e ki te mouri pou nou an, ki  resisite sou 3 jou an, monte nan syel la ke nou ap adrese nou. ! Pa okipe moun ki sou blof!!!!!!

 AMEN
                                                                                                           Merci!                                                     

 

                                                                                                    Fre Eder Jéroboham